To Benjamin Franklin from Madame Brillon, [26 March? 1778]
From Madame Brillon
AL: American Philosophical Society
Ce jeudi [March 26, 1778?7] a passy
Oui mon ami j’irai demain déjeunér avéc vous, mais je ne puis vous allér trouvér avant dix heures: mon mari ne pourra pas estre de la partie étant obligé d’allér a paris pour affaire. Il me charge de vous assurér du regrét qu’il a de ne pouvoir allér boire votre vin pour vous prouver le cas qu’il fait de vos conseils; il prendra sa revanche la semaine prochaine et je l’accompagnerai parceque j’ai toujours été convaincu de la verité que “deux plaisirs valent mieux qu’un.”8 Il me semble que c’est la ce que vous appellés de la moralle voyés mon bon papa comme on se forme a votre écolle. En vérité je suis quelquefois étonné de mes progrets.
7. Dating her letters often forces us, as we have said, to seize on any clue. Here it is BF’s wine. He received a large consignment about the middle of March; see O’Gorman’s letter to him above, March 10. If he had a tasting party, as might be expected, the 20th would have been an unlikely date because he was at court that day; our guess is that the party was on the 27th and that he planned another for the following week.
8. She used parentheses, for which we have substituted quotation marks.