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    • Du Pont de Nemours, Pierre …
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    • Jefferson, Thomas
    • Jefferson, Thomas
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    • Adams Presidency

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Documents filtered by: Author="Du Pont de Nemours, Pierre Samuel" AND Recipient="Jefferson, Thomas" AND Recipient="Jefferson, Thomas" AND Period="Adams Presidency"
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Le Docteur Logan vous dira qu’il a trouvé en France de bons et zëlés amis de l’Amérique; et vous ne serez pas Surpris que j’aie êté du nombre, ainsi que mon fils. Vous m’avez vu pendant votre Ambassade lutter en faveur de votre Patrie et pour les principes de liberalité, d’amitié Sincere entre les deux Nations , contre tous les préjugés fiscaux et mercantiles qu’avait alors notre gouvernement....
me voila dans votre Patrie; et la premiere chose que j’y trouve est une marque de votre bonté pour moi, entre les mains de mon ami Pusy . Je suis bien sensible à votre souvenir. J’avoue que nos anciennes relations, et le zéle que vous m’avez vu pour l’Amérique lorsque j’étais Conseiller d’Etat du Roi de France et chargé de l’Administration du Commerce de mon Pays, m’avaient fait esperer de...
Parce que je ne suis pas arrivé a Philadelphie et que je ne vous ai pas recrit depuis le pareil jour du mois passé, ne croyez pas Monsieur, que je n’aie pas songé avec tendresse à votre amitié, et que je n’aie pas désiré vivement de la cultiver. Mais une maison a prendre, a disposer, à meubler à la ville et une autre à la Campagne ont consumé mon tems. J’esperais d’un jour à l’autre finir tous...
J’ai reçu votre lettre avec reconnaissance, et je ferai le moins mal que je pourrai ce dont vous vous voulez bien me charger. Mais il ne m’est possible de m’en occuper avec la réflexion convenable qu’après le départ du Parlementaire qui doit porter ma correspondance commerciale en Europe. Car je suis obligé d’être un habile Négociant et un bon Directeur de Compagnie , puisque Dieu m’a fait...
Je vais à présent m’occuper du travail que vous m’avez imposé. Je voudrais que ce pût être d’une maniere digne de vous et de l’importance du sujet. Mais je n’ôse l’esperer. un plan d’éducation qui ne commence pas par les petites ecoles est ce qu’on appelle en France une charrue devant les boeufs . Mon ami Pusy vous remettra cette Lettre; il est digne de toute votre estime; et dans la multitude...
Je viens de finir l’ouvrage que vous avez bien voulu me demander sur l’Education nationale. Comme la minute en est très barbouillée, je suis obligé de le faire mettre au net. On y travaille. Hélas! C’est un livre. J’ignore si vous le trouverez bon. Mais tout n’y sera pas mauvais. Et il sera du moins un faible monument de mon attachement pour vous, et de mon Zêle pour les Etats-Unis....
Rien ne peut égaler la douleur et la Consternation que m’a causé la triste et fausse nouvelle que les ennemis de l’Amérique et les vôtres avaient mise dans les journaux. Je croyais avoir perdu le plus grand homme de ce continent, celui dont la raison éclairée peut être le plus utile aux deux mondes, celui qui par la ressemblance de nos principes me donne l’esperance de la plus solide amitié,...
Votre Gouvernement propose à mon gendre Mr. de Pusy d’entrer au Service des Etats-Unis comme Colonel au Corps du Génie. La Situation précaire de quelques uns de vos Ports lui persuade que, même dans les vues les plus pacifiques, il est nécessaire de les mettre à l’abri d’insulte. II croit donc pouvoir par ce travail bien mériter de votre Patrie. Mais si un homme d’Etat tel que vous, et dont...
Après avoir pleuré votre mort, comme un des plus grands malheurs qui pût arriver à l’Amérique et au monde, et mon cœur ajoutait qui pût m’atrister, je conçois aujourd’hui quelque inquiétude sur votre Santé. Il y a environ six Semaines que je vous ai marqué que mon ouvrage sur l’Education nationale dans les Etats Unis êtait achevé, et que Pusy le mettait au net. Je vous demandais si l’on peut...
Je reçois avec reconnaissance votre lettre du 11. Voila le Livre . Je voudrais qu’il fut plus digne du Sujet et du Philosophe qui m’a demandé de le traiter. Il est fait comme un Mémoire d’Administration, car c’en est un: non comme un Ouvrage qu’on destinerait au Public. Il n’y a rien pour le Lecteur. Je n’ai travaillé que pour l’homme d’Etat. Puisse-t-il agréer mon inviolable et respectueux...