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    • Du Pont de Nemours, Pierre …
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    • Jefferson, Thomas

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Documents filtered by: Author="Du Pont de Nemours, Pierre Samuel" AND Recipient="Jefferson, Thomas"
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Il m’est extrêmement pénible de ne pouvoir encore porter moi même à Votre Excellence l’hommage du plaisir que me fait pour l’Amérique et pour le Monde, votre Ré-Election, dont au reste je ne doutais nullement: Car, chez une Nation sage, On ne perd pas le fruit de ses oeuvres. Je saisis du moins la premiere occasion de vous le faire passer. Ma Lettre vous sera remise par Mr de Forgues, qui a...
Mr. Foncin retourne dans Votre Pays, et je suis très jaloux de son sort. Il va vous redemander du service; et j’espere que vous lui en accorderez de nouveau, parcequ’il est très bon homme et très bon Officier, dans un genre qui est une Science et qui par conséquent demande à être cultivé pour sa défense propre, chez la Nation même la plus pacifique. Il a vu nos mœurs nouvelles et il n’a pu s’y...
J’ai eu l’honneur de vous écrire avec plus d’étendue que je ne puis le faire aujourd’hui en réponse à votre précieuse Lettre du 2 May. J’espere que votre Prudence pourra continuer de prolonger, sinon l’êtat d’une bonne intelligence complette et qui ne dépend pas de vous avec l’Europe, du moins celui d’une absence d’hostilités, qui vous laissera le loisir de mettre votre Patrie en sureté contre...
Je vais à présent m’occuper du travail que vous m’avez imposé. Je voudrais que ce pût être d’une maniere digne de vous et de l’importance du sujet. Mais je n’ôse l’esperer. un plan d’éducation qui ne commence pas par les petites ecoles est ce qu’on appelle en France une charrue devant les boeufs . Mon ami Pusy vous remettra cette Lettre; il est digne de toute votre estime; et dans la multitude...
M r Jullien , qui Se propose, après avoir rempli la mission dont il est chargé en Italie , de passer aux Etats-Unis , me demande de lui donner d’avance auprès de Vous une Lettre d’introduction. S’il Se fixe en Amérique , comme je le crois, il Sera pour elle une acquisition précieuse. C’est un Penseur qui a beaucoup d’ordre dans les idées, et auquel nous devons deux ouvrages remarquables qu’il...
Vous n’avez jamais eu qu’ un Vice . Je fais mon compliment à votre Patrie et aux deux Mondes de ce qu’enfin vous l’avez perdu. Salut et respect. You have never had but one vice . I compliment your fatherland and both worlds on the fact that you have finally lost it. Greetings and respect. RC ( MHi ); at head of text in English: “To greatest Man in greatest Place of the United States”; endorsed...
Votre Gouvernement propose à mon gendre Mr. de Pusy d’entrer au Service des Etats-Unis comme Colonel au Corps du Génie. La Situation précaire de quelques uns de vos Ports lui persuade que, même dans les vues les plus pacifiques, il est nécessaire de les mettre à l’abri d’insulte. II croit donc pouvoir par ce travail bien mériter de votre Patrie. Mais si un homme d’Etat tel que vous, et dont...
Je viens de finir l’ouvrage que vous avez bien voulu me demander sur l’Education nationale. Comme la minute en est très barbouillée, je suis obligé de le faire mettre au net. On y travaille. Hélas! C’est un livre. J’ignore si vous le trouverez bon. Mais tout n’y sera pas mauvais. Et il sera du moins un faible monument de mon attachement pour vous, et de mon Zêle pour les Etats-Unis....
Nous devions partir demain le bon Corréa et moi pour vous voir à Mounticello . Nous n’avons pu être plus tot prêts l’un et l’autre. Mais comme il fallait passer à Washington , et nous y arrêter un peu, nous avons craint que le moindre accident arrivé en route ne nous retardât, et ne nous fit nous présenter à votre Porte qu’après votre départ que vous nous avez annoncé pour le 6 august, ou Si...
Parce que je ne suis pas arrivé a Philadelphie et que je ne vous ai pas recrit depuis le pareil jour du mois passé, ne croyez pas Monsieur, que je n’aie pas songé avec tendresse à votre amitié, et que je n’aie pas désiré vivement de la cultiver. Mais une maison a prendre, a disposer, à meubler à la ville et une autre à la Campagne ont consumé mon tems. J’esperais d’un jour à l’autre finir tous...
J’ai l’honneur de vous envoyer un petit recueil de mémoires, ou deux exemplaires de ce Recueil l’un pour vous; l’autre pour la société philosophique. L’édition des oeuvres de Mr. Turgot n’est pas finie et retarde le tems où je pourrai rapporter à votre République le tribut de mon Zêle et de nos derniers travaux. Comme fidele Américain, et inaltérable ami de la liberté, j’ôse recommander à...
J’ai eu l’honneur d’écrire ces jours derniers à Votre Excellence deux lettres par Mr. de Forgues: l’une d’introduction pour lui même, l’autre pour vous exprimer mon sincere regret de ce que je suis obligé de séjourner encore un an en Europe et vous en exposer le motif.—C’est un très grand sacrifice que je fais; mais aussi le fais-je à un très grand devoir que j’ai à remplir envers la mémoire...
J’ai lu le beau discours que vous avez adressé au Congrès.—La grandeur dans les choses dont vous parlez et la simplicité dans vos expressions, forment un contraste bien frappant avec la boursouflure des actes publics en Europe.—Vous serez Président toute la vie. Vous trouvez chaque jour dans nos Gazettes combien je dois désirer de me revoir auprès de vous. J’espère que nous arriverons ensemble...
J’ai eu l’honneur de vous écrire par l’occasion du jeune Manigault, par celle de l’officier porteur de vos dépêches dans votre avant-dernier parlementaire, et par celle de Mr. Skipwits, trois lettres qui n’êtaient pas sans importance sur la situation politique et militaire de votre Pays. Celle-ci ne s’élevera pas à de si hautes considérations; mais vous y verrez pourtant mon Zêle perséverant...
J’ai eu l’honneur de vous écrire il y a quelques jours, et je désire que ma Lettre vous ait êté agrèable, vous ait paru raisonnable. Vous y aurez reconnu tout mon amour, tout mon Zêle pour votre Patrie. Celle-ci n’a d’autre objet que de recommander à vos bontés Mr d’Allarde, Fils d’un de mes plus dignes Collegues à l’Assemblée constituante. — C’est un jeune homme bien élevé, très honnête, et...
me voila dans votre Patrie; et la premiere chose que j’y trouve est une marque de votre bonté pour moi, entre les mains de mon ami Pusy . Je suis bien sensible à votre souvenir. J’avoue que nos anciennes relations, et le zéle que vous m’avez vu pour l’Amérique lorsque j’étais Conseiller d’Etat du Roi de France et chargé de l’Administration du Commerce de mon Pays, m’avaient fait esperer de...
J’ai cru vous devoir, et aussi à votre Pays, des Rèflexions et des Observations assez étendues Sur le parti que prennent votre Gouvernement et vos Concitoyens d’élever, S’ils le peuvent, assez de manufactures pour Se rendre entierement indépendans de l’Europe ; et Sur le changement total qui doit en resulter dans le Systême de vos Finances Je n’ai pu encore terminer ce travail. Je Suis accablé...
Je ne perds pas une occasion de vous écrire quand je crois pouvoir le faire avec sureté. Ce m’est un extrême chagrin, si vous persistez à ne pas vouloir être reélu.—Je vous crois encore plus utile à votre Pays en demeurant à la tête de son Gouvernement que vous ne l’avez êté en faisant déclarer son indépendance, qui pourra devenir plus difficile à soutenir qu’elle ne l’a êté à établir. Comment...
Je continue avec délices la lecture de votre admirable Ouvrage; et j’y ai trouvé dans le livre onzieme la raison qui vous a empêché d’exprimer au treizieme une conclusion. L’Impôt territorial, ou pour mieux parler, la Constitution domaniale à partage de Revenus , êtant, comme vous me l’avez marqué il y a quelque tems, repoussée par l’opinion de vos Etats du Nord, qui cependant sont sur tous...
le départ de Mr. Skipwith me donnant une occasion sure pour écrire à Votre Excellence, je prends la liberté de joindre à cette Lettre les duplicata de celles que j’ai eu l’honneur de vous adresser le 21 May et le 27 aoust. Le premiere de ces Lettres ouvre une idée, que je crois qui peut mériter votre approbation, pour finir les procés qui existent au Kentucky et dans d’autres Etats,...
Il me parait inutile de vous dire combien je souffre de ne pouvoir encore me rendre auprès de vous, dans la République gouvernée par vos principes et Votre Sagesse. Vous Voyez l’Europe, mon Pays, et ce qui leur arrive. Vous connaissez mon esprit, mon cœur, les études, les travaux, les espérances philosophiques qui ont occupé ma Vie. Je désire en donner les derniers momens au développement des...
Je pleure avec vous l’excellent Barlow . Je vous envoie quelques lignes que j’ai jettées à son sujet sur le papier, avec le secours d’un Allemand très estimable et déjà célebre qui savait mieux que moi les premières circonstances de sa vie Cet Allemand ne veut pas être connu. J’ai rayé les dernieres lettres de son nom. C’est lui qui a fait l’Extrait de la Columbiade. Barlow était comme vous un...
J’ai reçu votre lettre avec reconnaissance, et je ferai le moins mal que je pourrai ce dont vous vous voulez bien me charger. Mais il ne m’est possible de m’en occuper avec la réflexion convenable qu’après le départ du Parlementaire qui doit porter ma correspondance commerciale en Europe. Car je suis obligé d’être un habile Négociant et un bon Directeur de Compagnie , puisque Dieu m’a fait...
vous aurez compris à quel point, malgré les bontés dont Madame votre Fille nous a comblés, j’ai regretté de ne vous avoir pas vu dans votre Palais de Mounticello. Si vous y avez lu le mémoire pour les Républiques Equinoxiales, je vous Serais obligé de me le renvoyer, ou directement Si votre franchise de ports de lettre S’étend à ce pouvoir, ou par l’intermédiaire Soit de Monsieur le Président...
J’envoie en Amérique trois bons Précurseurs, ma Belle Fille Madame de Pusy que vous y avez déja vue; Sa Fille très aimable qui a eu l’honneur de diner chez vous à Washington quand elle êtait encore enfant, et qui ne dément point ce qu’elle promettait alors; et enfin Maurice de Pusy qui n’avait que trois mois la premiere fois qu’il S’est embarqué pour les Etats-Unis , et qui est devenu...
Vous voila donc à la tête de votre sage Nation. Elle a mis librement son plus Grand-Homme à sa plus grande Place. Vous n’avez conquis que les cœurs. Je demande à Dieu de bénir votre Gouvernement. Et j’assure qu’il le bénira. Car il vous a éminemment donné la Raison, cette lumiere qui éclaire tout homme venant en ce monde , mais qui ne les éclaire pas tous également. Vous aurez auprés de Vous...
J’apprends que M r Coles , dont je croyais le départ retardé pour longtems encore, montera en voiture dans une heure. Je n’ai donc qu’un moment pour vous exprimer toute ma reconnaissance de la Lettre qu’il m’a remise de votre part. Quoique je sois convaincu que M r Madison , votre Ami et votre Elève, gouvernera dans les mêmes Principes que vous, je ne puis m’empêcher de regretter que vous...
J’avais compté vous porter moi même la nouvelle de mon arrivée en Amérique . Mais vos Journaux Sont des indiscrets, et je Suis resté chez mes Enfans, entouré de mes Petits-Enfans, plus longtems que je ne l’avais projetté. L’Espoir de trouver à Mounticello un Frere en Economie politique, un Maitre en Philosophie, est fortement entré dans le choix de ma retraite, Si c’est une Retraite. Je ne...
J’ai l’honneur de vous renvoyer mon petit Evangile à l’usage des Républiques espagnoles , que je vous avais porté il y a quatre mois. J’ai eu dieu merci, et j’aurai encore plusieurs exemplaires à en donner: et je n’ai qu’un Seul Secrétaire. de plus, j’ai un grand défaut : pressé par l’âge et par les circonstances, je m’engage à plusieurs travaux à la fois. Je Sais que ce n’est point une bonne...
J’ignore si Votre Excellence aura reçu un avis que j’ai eu l’honneur de lui donner par une lettre en anglais tel quel, signée a Friend . Et dans cette incertitude trouvant une occasion sure je crois devoir vous le renouveller. Les destinées du monde sont telles que les Etats unis ne peuvent être préservés d’une guerre redoutable et qui pénêtrerait dans leurs meilleures provinces que par la...