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    • Brillon de Jouy, Anne-Louise …
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    • Franklin, Benjamin

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Documents filtered by: Author="Brillon de Jouy, Anne-Louise Boivin d’Hardancourt" AND Recipient="Franklin, Benjamin"
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AL American Philosophical Society Je ne suis point anguille comme le pretend monsieur votre fils mon aimable papa, et j’avois bien le projét decidé d’aller vous voir ce matin, mais mes enfans sont partis plus tard que je ne comptois, ma fille cadétte et moi avons eté plus sottes que je ne croyois, nous étions attristées, préocupées, et tout uniment nous reméttrons a dimanche le plaisir d’aller...
AL : American Philosophical Society Je vous dois mil remercimens mon bon papa de votre joli billét et de votre lettre aux auteurs du journal de paris, mais je vous en devrés deux mil, si vous y joignés l’avis a Ceux qui veulent passer en amérique, j’éspérois aller vous le demander aujourd’hui et m’etablir pour six ou sept mois a passy mais mon pauvre mari a la goutte aux deux jambes, et la...
AL : American Philosophical Society Monsieur gosséc qui vous reméttra cétte léttre, mon cher papa et auqu’el je prends beaucoup d’intérest a déja eu l’honneur de vous voir, ou monsieur votre fils l’année derniére il vient de négotier des papiers que vous avés trouvés bons, et compte repasser incéssament en amérique ou il a été déja employé, il voudroit avant son départ avoir l’honneur de vous...
AL : American Philosophical Society Je vous ai promis mon bon papa de vous écrire lors de mon depart de passy et jusqu’ici je ne l’ai pas encore fait, parceque monsieur votre fils m’a donné quelquefois de vos nouvélles, d’autres fois j’en ai envoyé sçavoir, d’autres fois encore j’ai éspéré que le temp deviendroit moins dur et que je pourrois vous allér voir; je crains a la longue que vous ne...
(I) and (II) AL : American Philosophical Society Mon aimable papa, il fait si beau que cela me donne l’ésperance de vous débaucher ce soir pour prendre le thé a la maison, venés de bonne heure pour avoir le tems de vous reposér et de retourner doucement avant la nuit; Mr votre fils et Benjamin seront assés aimables pour vous accompagner: Addressed: A Monsieur / Monsieur Franklin / [ In another...
AL : American Philosophical Society Adieu mon bon papa, en Vérité il m’en coutte presqu’autant d’aller á paris que d’aller a Nice; pourtant je viendrai vous voir, le coeur me dit que vous pourrés venir aussi; pourqu’oi donc estre si beste? C’est que j’aime beaucoup le bon papa et que quand on aime Si fort, on est toujours un peu beste au moment de se quittés: Mille tendrésses de tous les...
ALS : American Philosophical Society Comment estes vous mon bon papa? Jamais il ne m’en a tant coutté de m’éloigner de vous, chaques soirs il me semble que vous seriés bien aise de me voir, et chaques soirs je pense a vous; lundi 21 j’irai vous retrouver, j’espere qu’alors vous serés bien Sur vos jambes et que le thé du mercredi samedi, et celui du dimanche matin reprendront tout leur lustre....
L : American Philosophical Society Plaidoyer POUR Madame Brillon de Jouy francaise native de Paris, demeurant ordinairement à Passy de present à Nice Contre Monsieur Benjamin Franklin americain né à Boston ci devant académicien, phisicien, Logicien & & &ca aujourdhui Ambassadeur en france des Provinces unies de L’amerique resident à Passy. C’est avec regret que Le Sanctuaire de la Justice...
AL : American Philosophical Society Vous aurés peut éstre déja vû mon chér papa lorsque vous recevrés cette léttre un mr de Lon a qui j’ai donné un petit mot pour lui servir de passeport auprés de vous; cet homme qui peut a ce qu’il me paroist avoir a peu prés soixante ans, accompagnoit ici Mylord cholmondeley a titre d’ami, plusieurs personnes assurent qu’il l’accompagnoit comme une éspéce de...
AL : American Philosophical Society Le voisin m’a annonçé votre repentir et une léttre de vous mon bon papa, je l’aurai sans doutte et elle me fera plaisir, mais dussaisje vous voir tombér dans l’impénitence finale, je ne veux plus me vengér de vous qu’a force de bon procédés, je vous écrirai souvent et vous aimerai toujours téls torts que vous vous obstiniés a avoir avéc moi. Vous avés donc...