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  • Author

    • Cerisier, Antoine Marie
  • Recipient

    • Adams, John
  • Period

    • Revolutionary War

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Documents filtered by: Author="Cerisier, Antoine Marie" AND Recipient="Adams, John" AND Period="Revolutionary War"
Results 1-10 of 16 sorted by author
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Since you know the ardor and sincerity of my feelings for the cause of liberty, you can understand my gratitude at receiving the honor of your trust in the letter of 23 October. I regret only that I cannot devote all my powers and abilities to the defense of this noble cause. The duties with which I am burdened at present leave me scarcely a free moment. This did not prevent me, however, from...
Vos desirs serons toujours des ordres pour moi. Vous verrez que je m’y suis conformé dans le N o. que j’e vous fais passer. J’espere pouvoir faire insérer le reste dans les deux suivans: vous m’obligeriez de me communiques ce que vous pensez de la traduction, si elle est exacte & fidele, vous ne verrez pas non plus sans interêt les détails & anecdotes que j’ai ôsé publier sur notre...
It has been a long time since I broached the important subject of the admission of the United States of America to the neutrality, but I feel that I do not have arguments strong enough to discuss this issue. And as you know, it is better to say nothing at all in such cases than not to say enough. Indeed, I am perplexed as to how to demonstrate that this démarche would not derogate from the...
I was an ardent partisan of the noble cause of America, only on account of my great love for liberty. But, since I have the honour of Knowing you, I have another motive of loving America, seeing that it produces so worthy and so brave Gentlemen. When occasion has occurred, I have never been backward in serving it with my pen, the feeble but the only help which I could bring. And when this...
Vous savez à quel point les interêts de l’Amerique me sont chers. Un enthousiasme fanatique ne m’a pas guidé; j’ai regardé sa cause comme celle de l’humanité; et j’y suis d’autant plus attaché que j’ai cru suivre les vrais principes. Ainsi vous ne serez pas étonné Si je n’ai pas été indifférent sur ce qui pouvait affecter son crédit. Vous sentez déjà que je veux parler du mauvais succés du...
Nous recumes, il y a quelques jours, les Gazettes Anglaises que j’ai l’honneur de vous envoyer. Comme elles ne peuvent être pour notre comptoir, j’ai présumé que c’était une partie de celles que nous avons demandés pour vous. Je vous supplie de ne pas trouver mauvais, si j’ai tardé si longtems de vous les envoyer; nous avons attendu que quelquun vînt les reclamer, et pensé que vous viendriez...
Peut-être aurai-je l’honneur de répondre demain à l’invitation que vous m’avez faite avec tant d’affabilité, d’aller vous vois à la Haye. Je Sens que j’ai besoin d’aller puiser dans votre conversation; c’est dans cette source féconde que j’irai chercher à réparer la sécheresse de mes faibles lumieres. Si je n’arrivai pas demain a la Haye, ce serait certainement samedi de la semaine prochaine....
J’ai vu ici Mr le Comte de Sharsfield qui m’a fait l’honneur de me rendre visite; il m’a parlé du manuscrit qu’il vous avait communiqué et m’a paru même desirer que j’en eusse aussi communication; il m’a renvoyé au tens où il aurait terminé son voyage qu’il ne fait disait-il, que pour mettre la derniére main à cet ouvrage; je ne doute cependant que, s’il était à la Haye, il fit la moindre...
Comme vous connaissiez l’ardeur et la Sincérité de mes sentimens pour la cause de la liberté, jugez avec quelle reconnaissance j’ai reçu l’honneur de votre confiance par Votre lettre du 23 octobre. Je regrette Seulement de ne pouvoir consacrer toutes mes forces et tous mes talens à la défense de cette noble cause. Les occupations dont je suis a présent accablé, me laissent à peine un instant...
Je crois vous avoir fait connaitre que toute mon ambition se bornait à obtenir quelque place en France dans un Bureau. Une nouvelle attaque que je viens d’éprouver dans ma Santé me fait penser plus sérieusement que jamais au projet de revenir me fixer en France. Dans cette idée j’ai pris la liberté d’écrire directement à Mr le Comte de Vergennes; & j’ai ôsé lui marquer qu’il trouverait auprès...