1To Thomas Jefferson from Volney, 2 September 1797 (Jefferson Papers)
Malgré la facilité et Même la brièveté du chemin de chez Vous ici, je Suis arrivé à une heure après Midi Si rôti, Si meurtri Si fatigué que j’ai à peine la force de Vous ecrire pour Vous remercier du bon Vieux guide et des deux chevaux qu’il remene[ra] demain en bon etat. Il est probable que je N’aurai point occasion de Vous ecrire plus amplement avant Mon retour à philadelphie. Votre...
2To Thomas Jefferson from Volney, 19 July 1797 (Jefferson Papers)
Le Surlendemain de Votre départ, le propriétaire du Vaisseau qui réunissait Mes Convenances s’etant decidé à Ne point l’expedier, je me decidai de mon côté à quitter philadelphie, et depuis cinq à Six jours je respire dans la Ville-campagne d’où je Vous ecris un air peut-etre aussi chaud Mais plus pur. Il N’est plus question de la fievre. Vous M’avez demandé Mon plan de Marche, le Voici. Le...
3To Thomas Jefferson from Volney, 5 July 1797 (Jefferson Papers)
Je Suis aussi touché de Votre offre, en la considerant et quant au fonds et quant à la forme, que le peut être un cœur qui Connaît le Sentiment de L’amitié et le prix de la générosité. Je N’hesiterais pas de l’accepter, si j’étais dans le cas. Mais heureusement mon œconomie et ma prévoyance ne me laissent rien à desirer du coté de l’argent. Mon motif de rester ici porte sur d’autres causes,...
4To Thomas Jefferson from Volney, 15 March 1797 (Jefferson Papers)
N’ayant pû avoir l’honneur de Vous revoir avant Votre depart, j’espère que Vous recevrez encore avant toute autre Voye, un Exemplaire de Ma reponse au dr. priestley que je joins ici. Si le français S’imprime comme jai lieu de le croire, Vous ne tarderez pas Non plus de l’avoir. C’est une affaire finie de Ma part. Le Saint-homme N’aura plus de Moi une Virgule. Avant trois Semaines je compte...