To Benjamin Franklin from the Comtesse d’Houdetot, [before 16 February 1782]
From the Comtesse d’Houdetot
L:4 American Philosophical Society
a Paris Vendredy matin [before Feb. 16, 1782]5
Madame La Comtesse D’houdetot fait Mille tendres amitiés a Monsieur franklin. Elle Le previens ainsy que Monsieur son fils qu’elle n’aura point de Musique aujourdhuy Chez Elle a Cause De La Maladie de Monsieur son frere aupres de qui Elle passera L’apres Midy. Elle ira Chercher Monsieur franklin Le plutot qu’il Luy sera possible Et Regrette fort D’estre privée aujourdhuy du plaisir De Le Voir.
Mme. D’houdetot prie Mr. franklin de luy faire dire sil a Reçu Le Billet.
Addressed: A Monsieur / Monsieur franklin / Ministre Plenipotentiaire Des / Etâts Unis / A Passy
4. In the hand of her close friend and sometimes secretary, M. Girard. The comtesse recognized that her handwriting was not easy for others to decipher: Robert de Crèvecœur, Saint John de Crèvecoeur: sa Vie et ses ouvrages (1735–1813) (Paris, 1883), p. 71n; Hippolyte Buffenoir, La Comtesse d’Houdetot, une amie de J.-J. Rousseau (Paris, 1901), pp. 180–1. Her previous letters in this edition, misidentified as autographs, are also in Girard’s hand.
5. The day her brother, Denis-Joseph La Live de Bellegarde, marquis d’Epinay (1724–1782), died of syphilis. His life of dissipation had caused Louis XV to exile him for a period: Auguste Rey, Le Château de la Chevrette et Madame d’Epinay (Paris, 1904), pp. 179–80; Ferdinando Galiani and Louise d’Epinay, Correspondance, ed. Georges Dulac and Daniel Maggetti (5 vols., Paris, 1992–97), V, 250n; DBF under Louise d’Epinay (where the year of his death is incorrectly given as 1781).