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Documents filtered by: Correspondent="Lafayette, Marie-Adrienne-Françoise de Noailles, marquise de" AND Correspondent="Jefferson, Thomas"
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J’ai donné a Mde. De tessé, monsieur, Lesperance de voir un de ces jours, mademoiselle votre fille a Chaville, et cette esperance Lui fait un extrême plaisir. Elle m’a charge de vous Le dire, et en même tems de vous demander que ce soit mardy prochain, parcequ’elle doit aller voir dans Laprès midy jouer Les eaux du Parc de Versailles, ce qui se voit rarement, et est veritablement un très beau...
Mde. De La Fayette, desire bien vivement de se dedomager du plaisir dont La timidite de Melle. Jeffersson La prive pour demain, et elle a bien de Lempressement de se rendre a Linvitation de Monsieur Jeffersson. Elle sera charmee d’avoir lhonneur de faire connoissance avec Mr. trumbull, et d’admirer des ouvrages, du merite desquels elle a deja entendu parler, et dont Les sujets, et Lauteur,...
Je dois a votre amitie pour mr. De la fayette, monsieur, de vous envoyer les nouvelles que jai recues de lui. J’ai ète desolee de navoir pas éte ches moy Lorsque vous y êtes venu, et de n’avoir pu trouver le moment de vous les porter moy même. J’attends un de ces jours-ci des nouvelles du sort de l’élection, et j’espere fort qu’il sera elu deputé de sa province. Tous les soins different qui me...
Prevented, Madam, from returning to Paris, by a call to the domestic administration of our government, instead of paying you my respects in person, I must write you a letter of Adieu. Accept my […] thanks for all the civilities and proofs of friendship with which you were pleased to honour my daughters and myself during our residence in France. Be assured that they have made a lively and...
I addressed a few lines to you on the 31st. of January, in a state of entire uncertainty in what country or condition they might find you, as we had been sometimes told you were in England, sometimes in Holland, and at sometimes in France. Your letter of Octob. 8. 1792. first relieved me from doubt, and gave me a hope that, being in France, and on your own estate, you are not as destitute, as...