To Benjamin Franklin from the Comte de Sarsfield, 29 September 1778
From the Comte de Sarsfield
ALS: American Philosophical Society
Rennes le 29 7bre 1778
Voicy, Monsieur, une lettre que J’ecris a Made. Macaulay5 et qui vous instruira suffisament de celle que J’ay recu d’elle. Je n’ay a y ajouter que le nom de celui a qui elle avoit confié ses livres. C’est Brewn ou Brown. Elle me mande qu’on lui a dit qu’il avoit eté pris par un armateur de Jersey et que vous comptiez les en retirer. Si vous avez quelque chose a lui faire savoir la dessus, ayez la bonté de lui ecrire. Vous etes interessé dans cet envoy pour le dernier volume de ses lettres et Made. de Chaumont pour un Exemplaire entier.6
J’espere etre bientot a Paris ou je me fais un grand plaisir d’avoir l’honneur de vous voir et de vous renouveller l’assurance des sentimens avec lesquels J’ay l’honneur d’etre Monsieur Votre tres humble et tres obeissant serviteur
Sarsfield
Permettez vous Monsieur que je mette icy bien des choses pour votre fils, Mr. Adams et Mr. Lee.
Endorsed: M. Sarsfield Rennes 29. 7bre. 1778.
5. Sarsfield’s friendship with Catherine Macaulay dates back to her visit in November, 1777: XXV, 203.
6. In the absence of Sarsfield’s enclosures, a letter from Thomas Digges to [Mr. Brown], dated merely “August,” provides the background. In May, Mrs. Macaulay had asked Digges to forward, care of BF, a parcel of books for friends in Paris whom she had recently visited: one volume of her History of England … in a Series of Letters for BF, and four volumes each of her History of England for both Sarsfield and Mme. Chaumont. (See XXVI, 390 n.) Digges entrusted the parcel to “a friend” bound for America via France. En route from Guernsey to the French coast, the courier’s baggage was seized and taken to the Guernsey custom house. Digges was trying to get the books released, but in the mean time Mrs. Macaulay, afraid her Parisian friends would accuse her of negligence, wanted BF apprised of these circumstances. Hist. Soc. of Pa.