1To Alexander Hamilton from Jean Antoine Joseph Fauchet, (29 May 1794) (Hamilton Papers)
Un négociant français chargé dans les Etats Unis d’opérations commerciales pour le compte de la Republique, se trouve avoir pour environ 400,000 livres tournois de pièces d’argent de 30 et de 15 sols. La Banque de Baltimore, se refuse à les lui échanger par la raison qu’une telle affluence de pièces étrangeres de titre nouveau et de coupe nouvelle, serait incommode au Public. Il n’y a d’autre...
2To Alexander Hamilton from Jean Antoine Joseph Fauchet, (21 April 1794) (Hamilton Papers)
Les deux millions et demi tournois que le Gouvernement des Etats Unis a mis provisoirement a ma disposition sont la seule base Sur laquelle je puisse etablir le payment d’une foule d’objets de service arrière-Courant. Mais l’eloignement des époques qui m’ont ete indiquées me laisse dans un très grand embarras. Il m’est impossible de faire face à l’étendue des engagemens pris si ces époques...
3To James Madison from Jean Antoine Joseph Fauchet, 26 August 1815 (Madison Papers)
J’ai l’honneur de Solliçiter votre bienveillance en faveur de Monsieur le Comte de Regnaud de St. Jean D’angely, qui Se retire dans les états de la liberté. Dans tous les temps, le pays qui vous a choisi pour Son président, a été l’asile des victimes des dissenssions politiques; il a profité des erreurs de l’ancien monde, pour fonder le gouvernement le moins imparfait de la terre. Après Sa...
4Enclosure I: Jean-Antoine-Joseph Fauchet to Edmund Randolph, 18 June 1794 (Washington Papers)
(Translation) Sir, Philadelphia 30 Prairial 2 year of the French Republic one & indivisible. (18. June 1794) I have this moment received a letter from the Consul of the French Republic, at Boston, informing me that his suspicions relative to the conduct of Mr Gore have been realised—notwithstanding the opinion of the attornies, notwithstanding the opinion of C. Sullivan, notwithstanding even...
5Enclosure: Jean Antoine Joseph Fauchet to Edmund Randolph, [25 May 1794] (Hamilton Papers)
Je Suis chargé par le Conseil Exécutif de la République française de notifier au Gouvernement des Etats-unis, le décrét de la Convention Nationale dont j’ai l’honneur de joindre ici copie. Ce décrét en conservant à nos vaisseaux le Pavillon tricolor, n’a fait qu’en chasser l’alliage de Monarchie qu’on y avait lainé Subsister; ces restes d’un régime honteux ne méritent plus de déparer par leur...