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ALS : American Philosophical Society J’ai êté infiniment sensible à votre bonté en apprenant par Monsieur le Docteur Quesnay que vous aviez daigné me chercher et vous informer de moi pendant votre dernier séjour à Paris. Malheureusement pour moi vous n’avez vu M. Quesnay que dans les deux ou trois jours qui ont precede immediatement votre départ; Je n’en ai êté instruit que le jour même où...
ALS : American Philosophical Society En arrivant de la Campagne je trouve la lettre et le paquet ci joints, que j’ai ouvert très innocemment l’enveloppe etant à mon adresse, et n’y ayant rien qui m’indiquât que les lettres n’êtaient pas pour moi. J’avais offert à Mr. Pennet lorsqu’il passa en france, dans le tems où je jouissais de la confiance du Gouvernement, de se servir de mon adresse pour...
LS : Library of Congress Mgr. Le Margrave rêgnant de Bâde me charge de vous prier de vouloir bien faire toutes les démarches qui dépendront de vous, pour avoir l’Extrait-Mortuaire du Sr. Adam Marggrander, né Sujet de ce Prince, et qui doit être mort noïé à Philadelphie. Ce S. Marggrander est parti pour Philadelphie, en 1774, avec un S. Gucker de Schreck, et il étoit emploïé à Philadelphie chéz...
Je crois devoir féliciter les Etats-Unis, et Votre Excellence, de ce que c’est vous qui Succedez à votre illustre Ami Mr Jefferson. J’ai pour votre Patrie un attachement qui a précédé son existence. Je compte y finis mes jours. Mes Fils y sont Citoyens. L’un d’eux y a introduit une branche importante d’industrie, et l’y a portée au plus haut point de perfection. C’est la Manufacture de...
J’ai reçu avec une vive reconnaissance la lettre dont Votre Excellence m’a honoré le 3 décembre dernier, les marques de bienveillance qu’Elle me donne, et Surtout celle de permettre que je profite d’un des Vaisseaux des Etats Unis que Vous envoyez dans nos Ports pour effectuer mon retour en Amérique quand j’en aurai la possibilité. Vous rendez justice à mon attachement pour votre Sage nation,...
4 July 1811, Paris. Sends two manuscripts that will prove his attachment to the country which has become that of his children and where he hopes to finish his days. One manuscript is a much corrected edition of his work on American finance that was sent to Jefferson last year. The other manuscript is the second, equally corrected, edition of his plan for American national education. Cannot...
J’ai l’honneur d’envoyer à Votre Excellence des Mémoires Sur la vie d’un Grand Homme, dont je vous ai déja fait passer les Oeuvres , où vous aurez vu combien votre République naissante lui donnait d’esperance et lui inspirait d’attachement. Ces Mémoires complettent l’Edition. Ils vous Seront portés par une branche de ma Famille qui me précede dans mon retour aux Etats-Unis. Elle est composée...
J’ai reçu votre Lettre avec une extrême Reconnaissance. Le Suffrage d’un Homme d’Etat tel que vous est une grande récompense et un puissant encouragement pour un Philosophe appliqué à l’étude des droits, des devoirs, de l’interêt des Gouvernans et des Gouvernés qui, Sous les bonnes constitutions, Sont toujours inséparables. Lors de mon retour en Amérique, vos lumieres m’aideront à rendre mon...
5 July 1812. Expresses gratitude for the opportunity to send the enclosed letters to his children with the U.S. minister’s dispatches to JM, since only diplomatic correspondence is sure to reach its destination. Hopes for JM’s continued interest in his sons, who are good and useful men. Intends to join his sons in the U.S. as soon as possible. Tr ( DeGH ). 1 p. In French.
Mr. Doolitle porte je crois à Votre Excellence quelques papiers de votre légation. J’ai bien du regret d’être dans le cas d’y joindre une notice Sur la vie de Mr. Barlow. Cet Homme Si distingué est mort en revenant de Wilna; et c’est une grande perte, car nul n’êtait plus propre à Servir les deux Nations. Je félicite la vôtre Sur votre Re-Election. Vous aimez la Liberté, vous désirez la paix...
Aucun naturel Américain n’a pris plus d’interêt et de part à la Ré-Election de Votre Excellence que le demi Américain duPont de Nemours. La durée de votre vertueuse et courageuse Administration me parait extrêmement nécessaire à ma Seconde Patrie. Ce n’est pas dans les circonstances difficiles qu’il convient aux bons Citoyens de changer les Chefs de leur Gouvernement, ni aux Gens de bien qui...
Je rends mille graces à votre excellence de la continuation de ses bontés pour moi et pour mes enfans. Elles sont l’unique moyen que j’ai pour leur donner de nos nouvelles, recevoir des leurs; et savoir, ce dont je ne doute pas qu’ils ne cessent point de les meriter par leur Zêle et leurs travaux pour votre service et celui de cette seconde Patrie que j’ai eu le bonheur de leur donner. J’ai...
Je profite des bontés de Votre Excellence, en Vous priant de permettre que Monsieur Crawford continue, comme voulait bien le faire Monsieur Barlow, d’insérer mes lettres à mes Enfans dans les Paquets qui vous Sont adressés, ou à Monsieur le Secretaire d’Etat Munroe. Je Suis extrêmement reconnaissant de la bienveillance avec laquelle vous et lui les faites parvenir à ces jeunes gens, qui me...
J’interromps et abandonne une Lettre assez longue que j’avais l’honneur de vous écrire, dont le principal objet êtait de proposer à Votre Excellence quelques vues militaires pour votre Guerre défensive dans la campagne de 1815. Un moyen de faire armure avec le Simple vêtement. Un autre de rendre vos Bataillons d’Infanterie plus redoutables, en vous passant pour le troisième rang des fusils qui...
C’est à la bienveillance dont vous m’avez toujours honoré que je dois d’avoir pu apporter mon corps et le peu que j’ai d’intelligence au Service de ma Seconde Patrie, à l’instant même où ils ont cessé d’être utiles à la premiére. Mr. Crawford m’a chargé d’un paquet pour Mr Munroe, votre digne Secretaire d’Etat, et m’a donné un Passeport, comme à un Porteur de Dépêches de votre Gouvernement. Je...
Je comptais partir aujourd’hui pour aller rendre mes devoirs à Votre Excellence. Quoique je me croie bien rétabli d’une indisposition qui m’a tourmenté pendant quelques Semaines, mes Enfans ont craint que la grande chaleur que j’éprouverais a Baltimore, et dans la route de Baltimore à Washington, me causât une rechute; et ils m’ont engagé a remettre mon Voyage au mois d’Octobre, en me disant...
J’ai l’honneur d’envoyer à Votre Excellence la Table dont j’ai eu celui de lui parler hier, et que je croyais bien avoir offert aux bontés que vous m’avez témoignées dès mon premier Voyage. Votre Excellence rend justice à mon profond respect. Permettez moi de présenter aussi mes respects à Madame. Has the honor to send to JM the table, which Du Pont de Nemours had the honor to speak to JM...
J’ai à vous remercier avec la plus vive reconnaissance de la bonté, pleine de graces, avec laquelle Votre Excellence a bien voulu admettre mon Petit-Fils dans le Corps des Midshipmen. J’ose vous répondre qu’il portera dans Son Service un noble Zêle et une grand application. J’ai appris à ces Jeunes Gens là qu’il fallait compter le travail, la fatigue, le péril et la vie pour rien; l’utilité...
J’ai l’honneur d’envoyer à Votre Excellence un petit Mémoire Sur la Question qui occupe actuellement le Congrès relativement aux Manufactures. Je tâcherai d’engager Mr. Patterson, ou Mr. Guillemer, ou Mr Duane à le traduire en Anglais. Dans l’un des deux premiers cas, je le ferais imprimer. Dans l’autre, il Serait naturellement placé au Journal du Traducteur. Je fais très peu de progrès dans...
Le Docteur Logan vous dira qu’il a trouvé en France de bons et zëlés amis de l’Amérique; et vous ne serez pas Surpris que j’aie êté du nombre, ainsi que mon fils. Vous m’avez vu pendant votre Ambassade lutter en faveur de votre Patrie et pour les principes de liberalité, d’amitié Sincere entre les deux Nations , contre tous les préjugés fiscaux et mercantiles qu’avait alors notre gouvernement....
me voila dans votre Patrie; et la premiere chose que j’y trouve est une marque de votre bonté pour moi, entre les mains de mon ami Pusy . Je suis bien sensible à votre souvenir. J’avoue que nos anciennes relations, et le zéle que vous m’avez vu pour l’Amérique lorsque j’étais Conseiller d’Etat du Roi de France et chargé de l’Administration du Commerce de mon Pays, m’avaient fait esperer de...
Parce que je ne suis pas arrivé a Philadelphie et que je ne vous ai pas recrit depuis le pareil jour du mois passé, ne croyez pas Monsieur, que je n’aie pas songé avec tendresse à votre amitié, et que je n’aie pas désiré vivement de la cultiver. Mais une maison a prendre, a disposer, à meubler à la ville et une autre à la Campagne ont consumé mon tems. J’esperais d’un jour à l’autre finir tous...
J’ai reçu votre lettre avec reconnaissance, et je ferai le moins mal que je pourrai ce dont vous vous voulez bien me charger. Mais il ne m’est possible de m’en occuper avec la réflexion convenable qu’après le départ du Parlementaire qui doit porter ma correspondance commerciale en Europe. Car je suis obligé d’être un habile Négociant et un bon Directeur de Compagnie , puisque Dieu m’a fait...
Je vais à présent m’occuper du travail que vous m’avez imposé. Je voudrais que ce pût être d’une maniere digne de vous et de l’importance du sujet. Mais je n’ôse l’esperer. un plan d’éducation qui ne commence pas par les petites ecoles est ce qu’on appelle en France une charrue devant les boeufs . Mon ami Pusy vous remettra cette Lettre; il est digne de toute votre estime; et dans la multitude...
Je viens de finir l’ouvrage que vous avez bien voulu me demander sur l’Education nationale. Comme la minute en est très barbouillée, je suis obligé de le faire mettre au net. On y travaille. Hélas! C’est un livre. J’ignore si vous le trouverez bon. Mais tout n’y sera pas mauvais. Et il sera du moins un faible monument de mon attachement pour vous, et de mon Zêle pour les Etats-Unis....
Rien ne peut égaler la douleur et la Consternation que m’a causé la triste et fausse nouvelle que les ennemis de l’Amérique et les vôtres avaient mise dans les journaux. Je croyais avoir perdu le plus grand homme de ce continent, celui dont la raison éclairée peut être le plus utile aux deux mondes, celui qui par la ressemblance de nos principes me donne l’esperance de la plus solide amitié,...
Votre Gouvernement propose à mon gendre Mr. de Pusy d’entrer au Service des Etats-Unis comme Colonel au Corps du Génie. La Situation précaire de quelques uns de vos Ports lui persuade que, même dans les vues les plus pacifiques, il est nécessaire de les mettre à l’abri d’insulte. II croit donc pouvoir par ce travail bien mériter de votre Patrie. Mais si un homme d’Etat tel que vous, et dont...
Après avoir pleuré votre mort, comme un des plus grands malheurs qui pût arriver à l’Amérique et au monde, et mon cœur ajoutait qui pût m’atrister, je conçois aujourd’hui quelque inquiétude sur votre Santé. Il y a environ six Semaines que je vous ai marqué que mon ouvrage sur l’Education nationale dans les Etats Unis êtait achevé, et que Pusy le mettait au net. Je vous demandais si l’on peut...
Je reçois avec reconnaissance votre lettre du 11. Voila le Livre . Je voudrais qu’il fut plus digne du Sujet et du Philosophe qui m’a demandé de le traiter. Il est fait comme un Mémoire d’Administration, car c’en est un: non comme un Ouvrage qu’on destinerait au Public. Il n’y a rien pour le Lecteur. Je n’ai travaillé que pour l’homme d’Etat. Puisse-t-il agréer mon inviolable et respectueux...
C’est vers le 20 d’Aoust que j’ai eu l’honneur de vous envoyer par la Poste , selon que vous m’avez marqué que je pouvais le faire, mon Ouvrage— sur l’ Education nationale dans les Etats-unis . Je commence à craindre que le service des Postes ne soit pas plus scrupuleux ici qu’en Europe; que votre nom et la grosseur du paquet n’aient piqué la curiosité; et qu’après l’avoir satisfaite, on n’ait...