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ALS : American Philosophical Society J’ai êté infiniment sensible à votre bonté en apprenant par Monsieur le Docteur Quesnay que vous aviez daigné me chercher et vous informer de moi pendant votre dernier séjour à Paris. Malheureusement pour moi vous n’avez vu M. Quesnay que dans les deux ou trois jours qui ont precede immediatement votre départ; Je n’en ai êté instruit que le jour même où...
ALS : American Philosophical Society En arrivant de la Campagne je trouve la lettre et le paquet ci joints, que j’ai ouvert très innocemment l’enveloppe etant à mon adresse, et n’y ayant rien qui m’indiquât que les lettres n’êtaient pas pour moi. J’avais offert à Mr. Pennet lorsqu’il passa en france, dans le tems où je jouissais de la confiance du Gouvernement, de se servir de mon adresse pour...
LS : Library of Congress Mgr. Le Margrave rêgnant de Bâde me charge de vous prier de vouloir bien faire toutes les démarches qui dépendront de vous, pour avoir l’Extrait-Mortuaire du Sr. Adam Marggrander, né Sujet de ce Prince, et qui doit être mort noïé à Philadelphie. Ce S. Marggrander est parti pour Philadelphie, en 1774, avec un S. Gucker de Schreck, et il étoit emploïé à Philadelphie chéz...
Le Docteur Logan vous dira qu’il a trouvé en France de bons et zëlés amis de l’Amérique; et vous ne serez pas Surpris que j’aie êté du nombre, ainsi que mon fils. Vous m’avez vu pendant votre Ambassade lutter en faveur de votre Patrie et pour les principes de liberalité, d’amitié Sincere entre les deux Nations , contre tous les préjugés fiscaux et mercantiles qu’avait alors notre gouvernement....
me voila dans votre Patrie; et la premiere chose que j’y trouve est une marque de votre bonté pour moi, entre les mains de mon ami Pusy . Je suis bien sensible à votre souvenir. J’avoue que nos anciennes relations, et le zéle que vous m’avez vu pour l’Amérique lorsque j’étais Conseiller d’Etat du Roi de France et chargé de l’Administration du Commerce de mon Pays, m’avaient fait esperer de...
Parce que je ne suis pas arrivé a Philadelphie et que je ne vous ai pas recrit depuis le pareil jour du mois passé, ne croyez pas Monsieur, que je n’aie pas songé avec tendresse à votre amitié, et que je n’aie pas désiré vivement de la cultiver. Mais une maison a prendre, a disposer, à meubler à la ville et une autre à la Campagne ont consumé mon tems. J’esperais d’un jour à l’autre finir tous...
J’ai reçu votre lettre avec reconnaissance, et je ferai le moins mal que je pourrai ce dont vous vous voulez bien me charger. Mais il ne m’est possible de m’en occuper avec la réflexion convenable qu’après le départ du Parlementaire qui doit porter ma correspondance commerciale en Europe. Car je suis obligé d’être un habile Négociant et un bon Directeur de Compagnie , puisque Dieu m’a fait...
Je vais à présent m’occuper du travail que vous m’avez imposé. Je voudrais que ce pût être d’une maniere digne de vous et de l’importance du sujet. Mais je n’ôse l’esperer. un plan d’éducation qui ne commence pas par les petites ecoles est ce qu’on appelle en France une charrue devant les boeufs . Mon ami Pusy vous remettra cette Lettre; il est digne de toute votre estime; et dans la multitude...
Je viens de finir l’ouvrage que vous avez bien voulu me demander sur l’Education nationale. Comme la minute en est très barbouillée, je suis obligé de le faire mettre au net. On y travaille. Hélas! C’est un livre. J’ignore si vous le trouverez bon. Mais tout n’y sera pas mauvais. Et il sera du moins un faible monument de mon attachement pour vous, et de mon Zêle pour les Etats-Unis....
Rien ne peut égaler la douleur et la Consternation que m’a causé la triste et fausse nouvelle que les ennemis de l’Amérique et les vôtres avaient mise dans les journaux. Je croyais avoir perdu le plus grand homme de ce continent, celui dont la raison éclairée peut être le plus utile aux deux mondes, celui qui par la ressemblance de nos principes me donne l’esperance de la plus solide amitié,...
Votre Gouvernement propose à mon gendre Mr. de Pusy d’entrer au Service des Etats-Unis comme Colonel au Corps du Génie. La Situation précaire de quelques uns de vos Ports lui persuade que, même dans les vues les plus pacifiques, il est nécessaire de les mettre à l’abri d’insulte. II croit donc pouvoir par ce travail bien mériter de votre Patrie. Mais si un homme d’Etat tel que vous, et dont...
Après avoir pleuré votre mort, comme un des plus grands malheurs qui pût arriver à l’Amérique et au monde, et mon cœur ajoutait qui pût m’atrister, je conçois aujourd’hui quelque inquiétude sur votre Santé. Il y a environ six Semaines que je vous ai marqué que mon ouvrage sur l’Education nationale dans les Etats Unis êtait achevé, et que Pusy le mettait au net. Je vous demandais si l’on peut...
Je reçois avec reconnaissance votre lettre du 11. Voila le Livre . Je voudrais qu’il fut plus digne du Sujet et du Philosophe qui m’a demandé de le traiter. Il est fait comme un Mémoire d’Administration, car c’en est un: non comme un Ouvrage qu’on destinerait au Public. Il n’y a rien pour le Lecteur. Je n’ai travaillé que pour l’homme d’Etat. Puisse-t-il agréer mon inviolable et respectueux...
C’est vers le 20 d’Aoust que j’ai eu l’honneur de vous envoyer par la Poste , selon que vous m’avez marqué que je pouvais le faire, mon Ouvrage— sur l’ Education nationale dans les Etats-unis . Je commence à craindre que le service des Postes ne soit pas plus scrupuleux ici qu’en Europe; que votre nom et la grosseur du paquet n’aient piqué la curiosité; et qu’après l’avoir satisfaite, on n’ait...
Vous voila donc à la tête de votre sage Nation. Elle a mis librement son plus Grand-Homme à sa plus grande Place. Vous n’avez conquis que les cœurs. Je demande à Dieu de bénir votre Gouvernement. Et j’assure qu’il le bénira. Car il vous a éminemment donné la Raison, cette lumiere qui éclaire tout homme venant en ce monde , mais qui ne les éclaire pas tous également. Vous aurez auprés de Vous...
Vous n’avez jamais eu qu’ un Vice . Je fais mon compliment à votre Patrie et aux deux Mondes de ce qu’enfin vous l’avez perdu. Salut et respect. You have never had but one vice . I compliment your fatherland and both worlds on the fact that you have finally lost it. Greetings and respect. RC ( MHi ); at head of text in English: “To greatest Man in greatest Place of the United States”; endorsed...
Je vous remercie, comme Philosophe pacifique, comme Français, et comme ami très chaud des Etats unis d’avoir mis en négociation l’affaire de la Louisiane. Je pense qu’elle sera terminée à votre satisfaction, même avant l’arrivée de Mr. Munroë. J’en ai raisonné fortement de vive voix et par écrit plusieurs fois avec Mr. de Talleyrand et en dernier lieu avec le Consul Le Brun . Le Gouvernement...
Je continue d’esperer un heureux rapprochement entre nos deux Nations qui ne peuvent se dissimuler que c’est leur interêt réciproque. Je l’espere d’autant plus que c’est le Général Bernadotte, véritable ami de toute liberté, qui est chargé de la Négociation. Vous trouverez en lui un homme qui aime l’Amérique, les Américains, les principes de leur Gouvernement, les vôtres Monsieur; et qui rend...
Permettez moi de féliciter les Etats Unis et Vous sur la Sagesse avec laquelle, résistant à la guerre qui aurait jetté votre Nation dans les bras d’un Allié redoutable, vous avez acquis sans répandre de sang un Pays décuple en étendue et en fertilité de celui même que vous désiriez. Vous êtes surs à présent, non seulement du débouché nécessaire à vos Etats de l’Ouest, mais de les étendre sans...
Je joins ici une lettre que j’avais donneè pour Votre Excellence au Général Bernadotte, et qu’il vient de me renvoyer depuis que la Négociation terminée sans lui, et la Guerre qui peut rendre utiles ses talens militaires, l’ont engagé, non sans regret, à renoncer à son Ambassade auprès de vous. Celui qui lui suceede, Mr. de Laussat, a êté mon Collegue au Conseil des Anciens , quoiqu’il fut...
Mr. Foncin retourne dans Votre Pays, et je suis très jaloux de son sort. Il va vous redemander du service; et j’espere que vous lui en accorderez de nouveau, parcequ’il est très bon homme et très bon Officier, dans un genre qui est une Science et qui par conséquent demande à être cultivé pour sa défense propre, chez la Nation même la plus pacifique. Il a vu nos mœurs nouvelles et il n’a pu s’y...
Vos lettres me pénétrent de reconnaissance. Je suis bien fier d’être l’Ami d’un homme qui fait, qui veut, qui peut faire tant de bien au monde. Je vous remercie de songer à mettre des barrieres entre votre Patrie et la Terre d’argent qui ferait déserter vos citoyens. Je vous remercie de ce que vous vous occupez de rendre les Louisianiens capables de désirer et d’exercer leurs droits...
Il me parait inutile de vous dire combien je souffre de ne pouvoir encore me rendre auprès de vous, dans la République gouvernée par vos principes et Votre Sagesse. Vous Voyez l’Europe, mon Pays, et ce qui leur arrive. Vous connaissez mon esprit, mon cœur, les études, les travaux, les espérances philosophiques qui ont occupé ma Vie. Je désire en donner les derniers momens au développement des...
Je ne dois ajouter que peu de chose à la Lettre que je vous écrivais il y a trois mois, et dont je joins ici le duplicata . Les raisons qui me rappellent auprès de vous deviennent chaque jour plus puissantes. L’Europe ne convient plus du tout à la Philosophie. Pour un tems plus ou moins long, mais qui vraisemblablement durera plus que je ne puis faire, elle est en proie aux Princes, aux...
J’ai lu le beau discours que vous avez adressé au Congrès.—La grandeur dans les choses dont vous parlez et la simplicité dans vos expressions, forment un contraste bien frappant avec la boursouflure des actes publics en Europe.—Vous serez Président toute la vie. Vous trouvez chaque jour dans nos Gazettes combien je dois désirer de me revoir auprès de vous. J’espère que nous arriverons ensemble...
Il m’est extrêmement pénible de ne pouvoir encore porter moi même à Votre Excellence l’hommage du plaisir que me fait pour l’Amérique et pour le Monde, votre Ré-Election, dont au reste je ne doutais nullement: Car, chez une Nation sage, On ne perd pas le fruit de ses oeuvres. Je saisis du moins la premiere occasion de vous le faire passer. Ma Lettre vous sera remise par Mr de Forgues, qui a...
J’ai eu l’honneur d’écrire ces jours derniers à Votre Excellence deux lettres par Mr. de Forgues: l’une d’introduction pour lui même, l’autre pour vous exprimer mon sincere regret de ce que je suis obligé de séjourner encore un an en Europe et vous en exposer le motif.—C’est un très grand sacrifice que je fais; mais aussi le fais-je à un très grand devoir que j’ai à remplir envers la mémoire...
Votre gravité naturelle ne vous aura pas permis d’avoir autant de plaisir pour la Médaille que notre Société d’Agriculture vous a décernée, que ma sensibilité a eu de l’hommage rendu au Philosophe Homme d’Etat de votre Pays par les Cultivateurs du mien. Je suis sujet aux joies d’enfant; mais en cette occasion j’en ai eu une d’Adolescent, parce qu’elle tenait à un sentiment civique qui...
Je me reproche une chose:—C’est de n’avoir pas invoqué votre autorité au premier moment où Mr. Armstrong, se mêlant d’une affaire qui ne le regardait point, et y portant des opinions injustes en elles mêmes, totalement contraires à l’interêt de ses Compatriotes, a entrepris de causer un enormé dommage à un grand nombre de Citoyens américains, et a soutenu, a fait adopter à la Cour de France,...
le départ de Mr. Skipwith me donnant une occasion sure pour écrire à Votre Excellence, je prends la liberté de joindre à cette Lettre les duplicata de celles que j’ai eu l’honneur de vous adresser le 21 May et le 27 aoust. Le premiere de ces Lettres ouvre une idée, que je crois qui peut mériter votre approbation, pour finir les procés qui existent au Kentucky et dans d’autres Etats,...