To Benjamin Franklin from Barbeu-Dubourg, 12 February 1778
From Barbeu-Dubourg
ALS: American Philosophical Society
12 fr 1778 entrant dans ma 70e année
Je suis chargé de vous demander, mon cher Maitre, ce qui vous a fait manquer a la parole que vous aviez donnée de diner hier 11e chez Mesdes. les Princesses de Sapieha et de Sangusko où nous vous attendimes jusqu’a trois heures et un quart; et quand vous comptez pouvoir reparer cela et consoler ces Dames que vous avez désolées, et qui sont charmantes.8
Voicy un livre que M. Barrois m’a envoyé pour vous faire tenir. Et deux memoires que Melle. Basseporte m’a chargé de vous remettre, l’un pour vous et l’autre pour M. de Chaumont.
M. Reignier demande aussi une note que vous lui avez promise. M. Coder demande si vous avez lu celle qu’il vous a addressé.9 Et enfin j’aurois a vous demander aussi si vous avez eu le loisir de lire mes papiers; mais je me bornerai à vous demander si vous avez de bonnes nouvelles, et si vous nous procurez la guerre ou la paix? J’ai l’honneur de vous souhaiter le bonjour, et de vous reïterer les assurances de mon tendre et inviolable attachement
Dubourg
Endorsed: Dubourg 12 Feb. 1778.
8. See Dubourg’s note of reminder above, before Feb. 11. After this contretemps he took BF to call on Princess Sapieha, to make amends and invite her to dinner. She was out, and wrote Dubourg on the 22nd: she was sorry that she had missed them, and had a prior engagement for the date suggested; would BF please set another? It was a privation not to have yet had the famous man’s company, for she was heart and soul republican. APS.
9. Barrois was, we assume, the son and successor of a well known Parisian bookseller, Jacques-Marie Barrois. For Madeleine Basseporte, an old friend, see above, XXIII, 24. The note from “Reignier” was doubtless from the mysterious Regnier, and about his forthcoming Recueil des lois constitutives des colonies angloises; see his dedicatory letter to BF below, before May 26. The note from Coder we have not found.