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    • Arnoux, Abbé

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M. Searle nous à remis dans son tems, notre cher et estimable ami, la lettre donc vous l’aviez chargé pour nous, il a dû vous ecrire que nous étions très empressés à faire tout ce qui pourroit lui etre agreable, et qu’il a eu avec un des chefs de la ferme generale un entretien aussi long qu’il pouvoit le desirer. Il nous a paru être très Content du fermier general; nous sçavons que Celui-ci a...
Mr. Searle delivered to us, our dear and estimable friend, the letter that you put in his charge for us. He should have written to you that we have been very eager to do whatever we can for him and that he had a long discussion with one of the heads of the farmers general. It seems to us that he was satisfied with this farmers general. We know that the latter was satisfied with him. You know...
Vous Sçavez, notre Cher Monsieur, que l’interest de l’amerique a toujours été le notre; nous n’avons jamais perdu de vue cet heureux pais depuis la glorieuse époque de sa revolution, le premier motif de ce Sentiment est la justice que la nature reclame Contre l’oppression et la tirannèe. Nous ne voyions que des hommes malheureux. Des hommes libres qu’en vouloit soumettre à la honte de...
You know, dear sir, that the interests of America have been ours as well, ever since the start of its glorious revolutionary era. The foremost reason for this sentiment is the natural demand of wanting justice to prevail over oppression and tyranny. We see only unhappy men. Our satisfaction is the happiness and liberty of free men, men that they wanted to subject to the shame of slavery. We...
Vous nous avez fait, notre cher ami, un veritable plaisir en nous donnant de vos nouvelles; nous avons Souvent prié M. Jefferson de vous faire parvenir nos Compliments et de vous temoigner tous nos regrets sur votre absence, il n’a surement pas manqué de remplir Cette Commission. Si nous ne consultions que l’amitié que nous avons pour vous, nous ferions le voyage de Londres nous avons tant et...
Vos lettres, notre Cher ami, nous seront toujours fort agreables. nous aimons votre françois, vos Sentiments rendus dans Cette langue quelle qu’en Soit la maniere, nous Seront chers. nous voudrions Sçavoir l’anglois pour vous épargner La peine d’ecrire en françois; notre age ne nous permet pas d’apprendre votre langue. vous Sçavez assez La notre pour rendre toutes vos idées, notre amitié vous...
Nous aurions desiré, Monsieur, lire dans votre langue l’exemplaire de votre ouvrage, nous avons prié un de nos amis qui sçait l’anglois de nous en faire l’extrait et de nous en dire son sentiment— nous avons vou avec satisfaction que vous prouvez jusqu’à l’evidence tout ce que vous y avancez et nous avons sçu par notre ami que cet ouvrage estimable étoit digne de vous et de votre philosophie....
Les abbés Chalut et Arnoux ont l’honneur de faire leurs sinceres Compliments à Monsieur Adams et de l’assurer de leur estime et de leur amitié; ils lui envoyent un exemplaire de deux ouvrages posthumes de M. l’abbé de Mably. ces deux ouvrages sont en deux volumes. il en paroitra encore Cinq on aura soin de les lui faire parvenir à mesure qu’ils paroitront Les abbés Chalut et Arnoux presentent...
AL : American Philosophical Society This is the first extant communication, if we are correct in our guess at its date, from an inseparable pair of abbés. They were “elderly but spritely enthusiasts for the American cause,” in Lyman Butterfield’s words, and the following spring they tried to serve it by teaching John Adams French. Arnoux was fifty or sixty (guesses differed) and Chalut, the...
ALS : American Philosophical Society Je n’ai pas perdu de vue, mon cher et respectable Monsieur, vos affaires d’Amerique; l’interest de vos colonies quand il ne seroit pas celui de la justice et de la vertu seroit le mien parce que c’est le votre. Je vois avec la plus grande satisfaction que vous touchez au moment de jouir d’une liberté qui est due à la prudence à la sagesse et à la Valeur; je...