You
have
selected

  • Author

    • Brillon de Jouy, Anne-Louise …
  • Recipient

    • Franklin, Benjamin

Period

Dates From

Dates To

Search help
Documents filtered by: Author="Brillon de Jouy, Anne-Louise Boivin d’Hardancourt" AND Recipient="Franklin, Benjamin"
Results 11-20 of 93 sorted by date (ascending)
AL : American Philosophical Society Mon voisin m’a assuré cétte aprés midi qu’il vous avoit proposé hiér de me venir voir, que vous aviés refusé, qu’il vous avoit pressé, et que vous aviés répondu que vous craigniés d’éstre a charge , de m’importunér . Comme nous connoissons tous deux la malice de ce voisin je ne voulois pas le croire, je croyois qu’il vouloit seulement me tourmentér un peu,...
AL : American Philosophical Society Mlle. daviés et mde. Brillon attendent avéc la plus grande impatience le papa Franklin qui ne manque jamais a sa parolle et qui a promis hiér de se rendre ce dimanche soir dans le sallon de passy. Addressed: A Monsieur / Monsieur Benjamin franklin / a Passy Our guess is based on “dimanche soir.” Cecilia Davies, in her note above of Jan. 30, had declined BF...
AL : American Philosophical Society Mde. Brillon a l’honneur de souhaitter le bonjour a son chér papa, et de lui faire dire que d’aprés la pérmission qu’il a bien voulu lui donnér mardi derniér, elle l’a engagé a disnér le samedi 14 fevriér chés mr. Wattellét ainsi que mr. son fils; elle prie mr. franklin le fils de vouloir bien lui faire un mot de réponse, et de méttre l’engagement du 14 sur...
ALS : American Philosophical Society Vous avés bien voulu hiér mon cher frére, me chargér de votre convérsion: tout directeur, tout ministre, arrange en général les affaires, pour sa gloire et pour son proffit: prenant la charge, j’en prends l’éspoir; ainsi mon chér frére, vous trouvérés bon que selon l’ordre accoutumé, me méslant de vos affaires, j’arrange les miénnes: je ne serai pas trop...
ALS : American Philosophical Society Il me paroit mon chér pénitent que je me suis chargé trop [?] légérement d’une besogne un peu difficile: vous m’offrés des douttes à résoudre comme casuiste—si je sçavois la théologie, je m’en tirerois peut estre! Je citterois des choses qui ne s’entendoient pas, et auxquélles je ne comprendrois rien moi mesme: je parlerois du ciel, de l’enfér, des...
AL : American Philosophical Society Mon chér papa, monsieur l’abbé de st. non m’a chargé de vous envoyer sa gravure, il prétend qu’elle aura un mérite de plus, offérte des mains de l’amitié; je lui sçais gré de cétte refléction, et de l’occasion qu’il me donne de vous assurér de l’attachement le plus tendre et le plus sincére. St.-Non’s engraving relates this note to hers below of, we are...
AL : American Philosophical Society Mon papa, on dit si haut que nous sommes les amis des amériquains, que je commence a croire que cela est aussi vrai qu’il est sure que pérsonne au monde ne vous aime plus que moi. Voila douze gravures de l’abbé de st. non, qu’il me charge de vous envoyér pour les donnér a vos amis en amérique, ou a quelques uns de vos amis de paris. Je suis faché de n’éstre...
AL : American Philosophical Society Oui mon ami j’irai demain déjeunér avéc vous, mais je ne puis vous allér trouvér avant dix heures: mon mari ne pourra pas estre de la partie étant obligé d’allér a paris pour affaire. Il me charge de vous assurér du regrét qu’il a de ne pouvoir allér boire votre vin pour vous prouver le cas qu’il fait de vos conseils; il prendra sa revanche la semaine...
AL : American Philosophical Society Madame brillon fait dire a son chér papa, qu’il lui sera impossible d’allér mardi disnér chés madame du tartre, sa petite est trop malade pour espérer qu’elle soit tout a fait bien mardi. Monsieur Brillon a encore la goutte; si le papa veut, madame Brillon ecrira a madame dutartre pour reméttre cétte partie au mardi 5 may; ou au mércredi 6 may; madame...
ALS : American Philosophical Society Je vous ai promis mon chér papa de vous écrire. Jamais je ne manquai a mes promésses; jugés si je commencerés par celle qui est si fort selon mon coeur. Je vais vous rendre compte de la vie que je ménne ici: j’habitte une supérbe térre située au milieu d’un beau pays; le pays seroit guaye [gai] pour toute autre que moi, mais tout m’y rappélle une amie que...