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    • Reibelt, J. Phillipe
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Je suppose mes Lettres du 12 Dec. et 2 Janv—reponse a la Votre du 26 Oct. dans Vos Venerables mains. Ayant depuis demandè au Greffier de la Chambre des Representans Copie de la denonciation faite a la seance precedente contre Moi, il m’a dit, qu’il n’osoit pas sans permission. Ayant ensuite voulu remettre au Representant de Clouet des Atacapas, qui etoit a la tete de ceux, qui vouloient, qu’on...
Je Suppose ma Lettre du 12 Dec. reponse a la Votre du 28 Oct. dans Vos Venerables mains et continue de me donner la Consolation de Vous ecrire. Les mesures recentes du Congres, les plus propres sous tout point de Vüe—me mettent hors d’etat non seulement d’aller en Europe et de revenir avec des nouvelles resources, mais aussi—puisque chacun restreint ses depenses,—d’executer mon projet,...
J’ai eû la Consolation de recevoir enfin une Lettre de Votre Venerable Main, dateè du 28 Octobre. Les 2 Observations que Vous prenez la peine, de m’y faire, ne peuvent etre que justes quant aux principes—mais les faits me paroissent differer de ce que Vous supposez. 1o.) Vous Vous rappellerez sans doute que j’ai eu l’Avantage, d’etre presentè a Vous par Mr. Dawson en 1802 avec une...
Je prends—mon Protecteur paternel! la Libertè, de Vous rappeller l’Urgence de ma Situation et de Votre soutien. Une Epouse et 5 Enfans m’imposent le devoir, de parler jusqu’a ce, que ma Voie soit entendue. La place de Receveur du Domaine National dans le District Est du Territoire; la Mission secrete auprès du Vice-Roi du Mexique &c. que j’osois, de Vous demander, seroient des Moyens, d’etre...
Un des çeux—a qui Worckman avoit—il y’a 2 ans confiè le plan de Burr—Brognier de Clouet vient me dire, que les Burristes avoient repris leur projet, qu’on lui avoit fait nouvellement des propositions, et qu’on l’avoit invitè a une Conference— Il m’a engagè d’en informer le Gen. Wilkinson— Supposant Le General en route d’apres des Lettres que plusieurs veulent avoir recus de lui içi—je prefere...
Il y a içi depuis plusieurs Mois un Confident du Viçe Roi du Mexique, nommè Barbe, qui va y retourner dans 10 a 15 jours— j’ai eû Occasion de faire sa Connaissance particuliere, logeants tous deux Chez un Ami Commun— Le dernier m’a—dans une Conversation sur les Nouvelles de l’Espagne et sur les raports des Colonies Espagnoles au pays Metropole, dit, il y a quelques jours—que le Vice Roi du...
Vous avez—Mon Protecteur!—encore une place a donner ici, qui me conviendroit, parcequ’elle me dispenseroit de la dure necessitè, de retourner aux Monarchies en Europe—ç’est çelle de Rec evoir —du produit de la Vente des terres du Congres dans le District orient. de çe territoire— Accordez moi, si Vous n’avez pas un autre plan, et pour fixer mon Sort aussi vite que possible, la Graçe, de me la...
J’ai—mon Protecteur paternel! pris la Libertè, de Vous instruire par plusieurs Lettres, comment les Ennemis du Gen. Wilkinson—parcequ’ils me supposoient son Ami particulier et Cooperateur le plus Zelè contre Mr. Burr—m’ont ruinès par les manoeuvres les plus perfides au point, de me trouver avec ma famille au bord de l’Abime de la plus cruelle Misère. J’ai osè, de reclamer pour une seconde fois...
Je Vous ai—mon paternel Protecteur!—instruit—il y a quelques semaines de la triste situation, dans la quelle m’ont plongès les Coalisès de Mr. D. Clark, et Vous ai priè, de m’assister de la manière la plus prompte et efficace possible. Je suis avec ma famille portè au bord de l’Abime de la Misère la plus cruelle, dont je ne pourrois plus me relever, lorsque une fois on m’aura laissè y tomber....
Je Vous a mon Venerable Protecteur! informè par mes dernières Lettres, que et comment je me suis chargè de la haine implacable des ennemies du G. Wilkinson, et les Amis de Burr—et qu’ils ont jurès ma perte a toute prix— Je dois malheureusement Vous anoncer aujourdhui, qu’ils ont par les faux sermens et des jurys composes de leurs partisans—parvenûs a realiser ma ruine, au point, que je ne sais...
Vous aurez—mon tres venerable Protecteur! sans doute lû dans les papiers publics de la N. Orleans, que et coment ⅔ du Corps Legislatif de Notre Territoire ont dans leur sagesse et Justice trouvèr apropòs, de decreter, sans même vouloir m’entendre, mon deplacement come Juge des Avoyelles, sur les denonciations assermenties d’un Marchand d’hommes noires de la Carol. Nord et de deux nouveau Venûs...
Immortel Premier des hommes fideles aux principes Divines de Gouv. repres—que jamais aucun pouvoir du Monde n’eteindra dans mon Ame, mais que je craigns de voir bientot—par notre tout puissant Ennemi—effacè sur tout l’Univers. 1) J’ai souvent pris la Libertè, de Vous protester, que je ne veux çeder, a qui que çe soit pour l’intime Veneration et le sincere Attachement, dont je suis—avant de...
Lorsque j’habitois Baltimore, Vous m’avez chargè de Vous procurer des Graines ou plantes d’Estragon— Je n’ai pas pû en trouver nul part. j’en ai demandè d’Europe, je l’ai recu le printems passè, je l’ai plantè, mais il a tout peris. Pour m’en dedomager, je viens de le trouver indigène ici dans le bois—j’en ai ramassè des Graines—et je le plaisir de Vous en presenter çijoint Peut être Vous...
J’ai—Venerable Chef des hommes eclairès! en route pour les Natchitoches—recû, par un express du Gouv. Clairborne— Votre Lettre du 3 fevr., par la quelle Vous Vous donnez la peine de m’anoncer Vous même, que et pourquoi le Secret. de la Guerre a voulu mon remplacement, et que et pourquoi Vous avez dû y consentir. Je n’ai pas meritè çette disgraçe— Les rapports du brave General Wilkinson Vous en...
Le dernier mot avant mon depart— 1o) Les Juges et Avocats m’ont, il y a quelques jours, dans une Assemblie taxès Votre plus fidele et plus actif Espion, et l’homme le plus dangereux, (a eux) que Vous n’aviez envoyè en çe pays. Ç’est lâ plus grand Compliment, qui jamais ne m’a etè fait, et pour leurs prouver d’avantage encore, que je veux le meriter, et que je ne crains point du tout leurs...
Il y a quelques jours, que le Representant du Canton d’Opelousas Nouvellement elû— Un Americain, un Ami de Workmann, un Advocat, un homme sans Moralitè et sans proprietè—a proposè a la Chambre des Representans a un Comitè secret, d’adresser au Congress une petition tendante a obtenir la punition Criminelle du Gen. Wilkinson— Cette proposition a etè—appuyeè par l’Orateur Watkins, adoptee, et...
1) Le General Wilkinson n’ayant, apres avoir par ses mesures deconcertè les plans de Mr. Burr, plus besoin de Moi, m’a—sur mes sollicitations reitereès—accordè mon Congè, de maniere, qu’enfin je parts pour N—s. 2) Le sejour, que j’ai fait de çette maniere ici—tres genant pour ma bourse, puisqu’il me coute ⅔ de mon salaire annuel—a, outre le service, que je me flatte d’avoir rendu a l’armeè,...
Çet Exemplaire de Flora Americana est plus digne de la Bibliotheque du Philosophe de Monticello— Çelui qui y est—in 8vo. pourroit prendre plaçe dans çelle d’Edgehille. Les Memoires secretes de la Russie sont l’ouvrage le plus interessant, qui n’a jamais parù sur çe pays. L’auteur en est—Masson—Professeur d’Alexandre sous les ordres de Mon Ami Laharpe.— Vous lui permetterez par çe Motif...
Çe ne sont, Vous le savez—je m’en flatte—que mes principes et mon attachement pour Vous, que jamais rien n’affaiblira, puisqu’ils se datent de longtems avant mon arrivè aux Etats Unis—çe ne sont, dis je, que çes deux Motifs, qui peuvent m’engager, de continuer l’usage de la Libertè, que Vous m’avez accordè de fait, de Vous ecrire de tems en tems sur des evenemens, que je juge assez importants...
Le General Wilkinson m’avoit sur ma demande accordè un ordre au Comandant militaire a Natchitoches—parcequ’il n’y a pas le moindre logement—de me fournir pour le premier pied a terre une barraque militaire—non occupeè en çe moment—jusqu’a çe, que j’aurois pû faire construire les Maisonettes definitivement necessaires pour la factorie. C’etoit au Moment ou j’allois recevoir sa lettre et partir,...
Vous savez, mon Venerable Protecteur! quels services j’ai rendû, quels sacrifices j’ai faits, et combien je suis de tete et de Coeur attachè aux principes, que l’heureux Usurpateur a exilès de l’ancien monde, et dont Vous etes le seul sauveur dans çelui çi— Vous savez aussi, que je ne cede a personne pour l’attachement pour Vous. Permettez donc, qu’avant mon depart pour mon poste—je Vous...
Ayant—Venerable Chef! remarquè dans Votre salon quelques echantillons des Oisseaux du pays—j’ose Vous offrir aussi 2 echantillons des oisseaux etrangers—savoir: les tetes des 2 plus grandes perroquets—et Vous prier, de leurs accorder le même honneur. Je reparts le 20 avec ma famille—qui Vous adore comme leurs Premier soutien, pour mon poste. Daignez, toujours d’agreer favorablement les plus...
Mr. Guestier à recû une grande Quantitè d’excellens Vins de Bordeaux— Mr. C. Mayer—m’engage de Vous en envoyer le prix Courant, et de Vous offrir en meme tems—puisque je dois partir, ses services , si Vous desirez d’en acheter quelques uns. Agreez—Je Vous prie—toujours avec la même Grace, les plus sinceres et les plus profonds homages de Votre Admirateur DLC : Papers of Thomas Jefferson. Prix...
Je fus renversè 3 foix dans les stages, dans les quels je suis retournè— Les suites—dont je donne detail a Mr. Randolph en etoient si facheuses pour Moi, qu’il m’a etè impossible, de m’arrêter a la Ville federale (ou Nous somes arrivès apres les 8 et partis a 9 heures) et de m’y presenter au Ministre de la Guerre, comme je me l’avois proposè.— Je dois donc le faire par ecrit. Je lui dirais...
Je me mettrais demain en huit, le 4 du Mois prochain—en stage, pour arriver ou le 6 du soir ou le 7 du Matin au Paradis Repub. a Monticello. O! quelle satisfaction pour Moi, de pouvoir etre si intimement persuadè, que l’homme, que depuis longtems j’admire et j’aime de jour en jour plus comme le plus grand et le Meilleur sur ce Globe—aÿe autant, de bienveillance paternelle pour Moi, que je...
Je viens de rencontrer dans l’Atelier de Mr. Geanty—un Belier hydraul. que Mr. Montgolfier lui a envoyè—en desavouant les demarches de Mr. le Marquis de Lapoype — Il a un orifice de 2⅛ pouce de diamêtre, eleve une Colonne d’eau d’un pouce a une hauteur de 200 pieds, et doit couter 100 Gourdes. Mr. Geanty, a qui il paroit, d’etre d’une Construction differente de celui de Mr. de Lapoype m’a...
Je viens d’apprendre de Mss. Duer et Davesac—de la Nouv. Orleans—qui m’envisagent comme absolument nul—qu’ils partiront demain pour Federal City, et qu’ils sont munis d’une Lettre de recomandation du General Smith, (qui certainement ne les connoit pas—) a Vous—donc, que Vous etez encore a Federal City — Desirant ardement, de passer, si Vous me le permettez, quelques jours a Monticello—afin de...
Vous connaissez, bon et Venerable Protecteur! par ma derniere Lettre de la Nouv. Orleans—le Motif, qui m’a engagè de revenir ici avec la permission du Gouverneur dont j’ai supposè Votre Approbation. Je suis arrivè hier soir—ou j’ai appris, que mon Epouse m’a ecrite bien souvent, qu’elle s’etoit même embarqueè avec ses enfans, son Compagnon de Voyage, ses effets et ses provisions—pour me...
J’etois convenû avec mon epouse (les derniers jours du Fevrier) qu’elle me suivroit par le premier batiment, accompagneè d’un Ami, qu vouloit voir la Louisiane, mais qui devoit etre de retour a NewYorck au Mois de Juillet, afin de s’y embarquer vers le Commencement d’Aout pour la Françe. 5 batimens sont depuis partis de Baltimore pour la N. Orleans et tous arrivès ici, le dernier il y a 15...
Je viens d’apprendre dans une societè des Espagnols, qui par la Chaleur de la Conversation ont oubliès, que je me trouvois parmi eux—tous des hommes de la premiere distinction, que le Gouverneur Folke a Pensacola est fermement resolû de ne jamais executer les ordres de sa Cour pour la remise des Florides aux Etats Unis, a moins, que cette Cour en obtienne en echange la rive droite du...
Le Gouverneur vient de me dire, qu’il Vous a ecrit par le dernier Courrier, pour savoir, si—nommè: Agent de la Factorie Indienne a Natchitoches—je serais chargè seulement de la partie comerciale, ou de celle Civile et politique aussi? J’ose Vous presenter quelques Observations a çe sujet: Je me sousmets volontiers à tout ce, que Vous voudriez ordonner la dessus, bien persuadè, que Vous ne...
Je suis encore ici, non pas pour attendre votre resolution sur le rapport, que Mr. le Gouverneur se proposoit de Vous faire, car elle me trouveroit bien a Natchitoches aussi—au reste il paroit y avoir renoncè, il ne m’en parle plus — Mais je suis ici parceque d’apres les informations les plus exactes que Mr. le Gouverneur a prises, il n’y a pas (voici l’expression elle même) even a stable...
Lorsque j’ai crû devoir Vous instruire de toutes les sinuositès par les quelles le Courremt de mon sort m’obligoit de passer avant pendant et apres la revolution francaise—Je Vous ai—Venerable Chef des Republicains! dit que le Directoire francais m’avoit dans les premiers moments de son existence envoyè au Nord de l’Europe a l’effet d’y former une reunion étroite et active parmi les princip....
Je suppose, grand et sincere Ami de l’Humanitè! ma première Lettre d’ici dans vos mains respectables. Des personnes en places distingueès a Pensacola commencent, a ce, qu’un officier Espagnol m’a dit, a croire, que les 2 Florides sont en ce Moment ci cèdeès aux E.U. Je Vous prie dans cette supposition, de vouloir bien me conserver et conferer dans ces pays la plaçe d’agent permanent et...
Permettez, que je prenne quelques Momens sur Vos occupations maintenant extraordinairement importantes, pour Vous entretenir de Moi—d’un individu, qui n’a, et qui ne desire d’avoir d’autre Consolation que sa famille, ses principes et votre protection—particulierement la Continuation de la permission de Vous adresser de tems en tems quelques Mots. 1) Vous savez par ma derniére Lettre de Balt....
Je Vous suppose—par la bonte de Mr. Randolph—deja instruit, que, pourquoi et comment je partirais incessament par la Nouvelle Orleans, pour mon poste. Permettez moi donc que je Vous presente encore quelques Mots pour la derniere fois de Baltimore. 1) Les Francais distinguès en cette Ville—sont, à l’exception de bien peu— comme la nation dont ils sortent—plus tot ennemis qu’amis des principes...
Mr. Ducatel, dont j’ai deja eû l’honneur de Vous parler, desirant que deux Liqueurs de sa Composition parviennent a Votre Connaissance, et m’ayant—depuis que je suis de retour de Monticello—continuellement engagè de Vous en presenter a cet effet des echantillons, Je Vous previens, que j’ai remis au Stage—qui part aujourdhui—une bouteille de chaque espece, a Votre Adresse. Je Vous observe en...
Venant de recevoir d’un Ami des pepins de la pomme de Borstdorf—(qui passe pour etre la meilleure de toutes) de 1805—je prends la Libertè, de Vous en offrir la Moitiè. Mr le General Dearborn n’a pas encore renvoyè les papiers au Collecteur d’ici.— mais j’espere, qu’ils arriveront demain. J’ai priè Mr. Randolph de Vous rappeller pour Moi ou une petite Lettre au Gouverneur Mr. Clairborn—ou un...
Je Vous prie, d’avoir—pour le Comble de la Chose—la Grace, de prendre—en Qualitè d’illustre protecteur d’un Republicain persecutè—Notice de l’incluse, d’engager Mr le General Dearborn en Consequence, qu’il m’expedie avec la Celèritè necessaire—et d’agreer les sentimens du plus pur et plus profond Respect. DLC : Papers of Thomas Jefferson.
Mr. G. a de nouveau changè de projet relativ. au batiment pour Bordeaux—et ne compte maintenant pas d’y en envoyer avant plusieurs Mois. En ayant—en Consequence—parlè à Mr. Cristian Maÿer au sujet des Livres pour Vous et pour Moi, il m’a fait des reproches, de l’avoir presque privè de l honneur et du plaisir distinguè, d’executer cette Commission pour Vous, et m’a en même tems pressè, de Vous...
Il ne me reste—d’apres l’observation tres juste, que Mr. Randolph—vient de me faire relat. a ma demande pour la Caution—il ne me reste—comme je Vous ai dit dans ma derniere, d’autre Moyen, que d’executer le bound a la Nouvelle Orleans. Je m’embarquerais donc dans cette intention sur un batiment, qui va partir dans peu des jours—et Vous prie—de me donner, si cela se peut, une petite Lettre pour...
J’ai eû le plaisir, de recevoir ce Matin Vos ordres du 20 relat. aux Livres que Vous desirès pour le Moment—ils seront strictement executès. Vous avez eû la Grace, de m’honorer tout a la tete de cette Lettre d’un adjectif, qui me porte au Comble du bonheur— Apprendre, que je suis cher a l’homme, pour le quel je me suis—depuis tres longtems, et d’un moment a l’autre plus intimement (a tous...
Venant d’apprendre, que le Congress Vous avoit remise la Nomination des Officiers de toute espece de l’armeè navale, nomament çelle des Officiers de Santè — Je me presente aujourdhui devant Vous, pour, si cela faire se peut, Vous demander une telle place pour un excellent sujet, de Trêves, du Departement de la Sarre—qui a achevè ses etudes et pris le Grade de Docteur a l’Universitè de Vienne,...
Votre affirmative du 10, est—en çe qu’elle me donne la Certitude de la Confiance du Premier des Republicains—la plus douce satisfaction et Consolation, que je n’ai jamais eprouveè. Les Mots—pour Vous exprimer les sentimens, dont je fus penetrè a sa lecture—me manqueroient même dans la langue, que je possede entierement. Çe poste—a Natchitoches—me convient sans doute sous tous les rapports,...
J’ai l’honneur de Vous presenter—çijoint—la liste des Livres, que Vous m’avez demandès en ma cidevant Qualitè de Libraire, que je ne pouvois pas Vous envoyer de suite, pour les quels j’avois donc ecrits a Paris—et que je Vous propose maintenant de Vous faire venir de Bordeaux avec d’autres pour Moi et mes Amis pour les fraix d’importation seulement. Je Vous prie, de vouloir bien la repasser a...
Je suis encore ici, parceque je ne sais point, ou mettre le premier pas. Au moment, ou, d’apres les promesses, qu’on m’avoit faites de tous cotès, je devois me croire en possession des Moÿens necessaires pour me porter avec une famille de 5 personnes, que j’avois engageè, sur ma petite ferme en Virginie—on m’ecrit, par les Courriers de hier et d’avanthier—l’un de 2500 G. qu’un evenement...
Les 6 planches cijointes donnent les Chaines des principales Montagnes en Suisse.— Enlumineès et encadreès je les ai vû faire le plus bel effet dans les Cabinets les plus distinguès.— Elles sortent de ma petite bibliotheque privèe, et sont rares a trouver en Europe. Il y a longtems, que je me permois, de prendre la libertè, de Vous les presenter.— J’ose en ce moment paroitre devant Vous avec...
Le Contenû gracieux de votre petite Lettre du 31 Dec.—qui m’a ete remise çe Matin—est la plus douce Consolation, qui me pouvoit arriver de toute ma Vie.   Jamais, bien Certainement, je ne fûs aussi sensible a la bienveillance d’un Gouvernement, que de çelle de Vous, le Seul Chef de peuple absolument philosophe, que j’ai rencontrè. Je ne pourrois partir d’ici, que dans 8 jours environs. J’ose...
Je dresserois la liste de Livres, dont parle Votre Lettre du 21 et Vous l’enverrois avant le depart d’un batiment de Mr. G. p. Bord. çe qui ne sera pas de si tot, puisque probablement il n’en expediera plus pour ce port avant le printems prochain. Je suis fachè, d’etre obligè, de Vous rappeller une Assignation sur les 41½ Gourdes—par le Motif, que je veux partir d’ici dans 7 a 8 jours, en me...
Je viens d’etre avertis par un Ami de Paris, que la Maison L. S. & C.—à—trouveè une Occasion de se defaire de son fond en Classiques Anglais, qui etoit le but principal de l’etablissement d’ici. C’est sans doute une Manoeuvre des Libraires de Londres, et ce, qu’ils avoient de mieux a faire, pour rester plus longtems en possession exclusive de vendre a çe pays. Devant maintenant—d’apres tout...