To Benjamin Franklin from Claude-Marie Guyétand, 23 November 1780
From Claude-Marie Guyétand
ALS: American Philosophical Society
Jeudy, 23 Novembre 1780.
Monsieur,
Permettez moi de vous présenter un faible ouvrage que je vais publier, dans lequel j’ai osé placer votre nom. Ce Sont mes premiers vers; ils Sont dédiés à la liberté, ils ont droit de vous plaire.2 J’ai dit un mot de la grande révolution du nouveau monde, c’est à Son auteur que j’en dois l’hommage.
Je suis avec un profond respect, Monsieur, Votre très-humble et très-obéissant Serviteur
Guyétand
au Caffé du parnasse,
Quay de L’Ecole.3
2. Guyétand’s (1748–1811) poem Le Génie vengé, a sixteen-page diatribe in verse against critics of literature, those of Voltaire in particular, was announced in the Jour. de Paris on Dec. 20, 1780. The two-page review singles out for praise a section depicting the rise of liberty in America. He published a second collection of satirical verse in 1782: DBF; Larousse.
3. A meeting place for literary figures on what is now the quai du Louvre: Hillairet, Rues de Paris, II, 62.